Le sentiment de déclassement, loin de ne concerner que les échelons les plus bas de l’échelle sociale, semble n’épargner désormais aucune strate ou catégorie sociale. Analyse par Yves-Marie Cann d’un phénomène qui pourrait être l’un des principaux facteurs déterminant le vote à la prochaine élection présidentielle.
Lien vers l’analyse complète sur le site de la Fondation Jean Jaurès